VURK
“Le sournois“
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Classe | Type de dégâts | Faction | Rôles | Type d'attaque | Rareté | Position conseillée | Artefact recommandé | Union |
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Equipement signature
“Dard de l’ombre”
Cette arbalète précise et légère est parfaite pour réussir une embuscade ou pour tuer sans se faire repérer.
Compétence : Folie
La compétence “Manie” de Vurk tire désormais 3 carreaux d’arbalète par attaque. Cependant, les carreaux supplémentaires infligent 60% de dégâts.
[+10 Déverrouillé] Les dégâts supplémentaires des carreaux sont augmentés de 70%.
[+20 Déverrouillé] Les dégâts supplémentaires des carreaux sont augmentés de 80%.
[+30 Déverrouillé] La compétence “Manie” tire désormais 5 carreaux d’arbalète par attaque.
Lore
Dans les terriers surpeuplés des Durri, il faut savoir tirer parti de chaque occasion, fût-elle infime. La vie dans un terrier est un mélange de patiente observation et de frénésie. La compassion n’a pas sa place, et, pour la plupart des Durri, le confort reste un pur concept. Pourtant, rares sont les Durri qui préfèrent le et la lumière du jour à la sécurité relative offerte par leurs fétides demeures souterraines. Ces vies d’adversité ont forgé un peuple aussi résilient que les rongeurs avec qui ils partagent tant de choses. Cette caractéristique, alliée à leur capacité à se multiplier et à leur ruse intrinsèque rend ces créatures tout à fait capables de terrasser des ennemis bien plus gros qu’eux.
L’art de la guerre Durri diffère beaucoup de celui des autres pugilistes. Ils évitent le corps à corps autant que possible, préférant observer et attendre le bon moment pour lancer une embuscade. Ils criblent alors l’ennemi de carreaux d’arbalète depuis l’ombre et fondent sur lui avec de petits couteaux, avant de disparaître à nouveau dans l’obscurité. Quand le poison de leurs lames a fait son travail, ils reviennent piller les cadavres tordus de douleur. Pour de nombreux pugilistes, c’est une méthode extrêmement lâche, mais ils sont bien obligés d’en reconnaître l’efficacité.
Vurk partage les affinités de son peuple pour cette forme de combat, mais il n’a pas la prudence si caractéristique de ses congénères. Il se distingue par ses prises de risque, et un exploit en particulier lui a valu beaucoup de respect : il est entré au cœur du réseau des nids arachin, afin de leur voler leurs terribles venins.
La plupart des gens considèrent ce réseau comme l’un des endroits les plus dangereux au monde. Avec son audace habituelle, Vurk voulait le poison le plus puissant pour son arsenal. Vurk montre des capacités exceptionnelles en matière de furtivité et de ruse, même pour un Durri. Très peu d’êtres vivants seraient capables de traverser les réseaux de toiles et d’échapper aux effrayantes patrouilles des Arachin, et encore moins de revenir conter leur aventure. Vurk affirme non seulement avoir réussi cela, mais aussi être parvenu jusqu’au nid primordial, la chambre de la reine arachin. Si l’on en juge par la toxicité de ses carreaux, il ne ment pas. Bien sûr, cela ne l’a pas rendu très populaire parmi ses alliées à huit pattes, mais l’ énormité de ce fait d’armes a suffi à rendre les Durri plus respectables aux yeux des autres tribus pugilistes. Quand la nouvelle de cet exploit apparemment suicidaire s’est répandue, le regard porté sur les astucieux Durri a bien changé.
« On ne peut se défendre contre l’invisible.